Close

Le Devoir – Christophe Huss, 25.07.15

“Tout est en effet d’une telle détermination, d’une telle préméditation que cette éthique du récital s’impose. Helmchen fait partie de ces artistes (évidemment, on pense à Alfred Brendel) qui possèdent une vision esthétique et culturelle organique d’une oeuvre et dont les doigts traduisent exactement toutes les facettes de cet univers. Avec Helmchen, le contrôle du son, le dosage des plans sonores, la maîtrise rythmique (dans les Diabelli !) et, au-delà de tout, l’égalité digitale laissent pantois.”